« Bain purificateur » (misogui) hebdomadaire…
Dans
ma « gouille »[1]
secrète
Tout
l’hiver je m’y suis baigné
Certaines
fois
L’eau
gelait
Résultat :
Pas
un rhume, pas une grippe.
C’est
si beau que je pourrais mourir ici
T.
J.
Photo T. J.
[1] Mot utilisé dans la région
des deux Savoie et de la Suisse romande, qui représente un plan d’eau plus
grand qu’une flaque et plus petit qu’une marre.
En Suisse Normande ?
RépondreSupprimerEn Suisse Normande ?
RépondreSupprimerEncore des propos idiots de ma part !!!
RépondreSupprimerL'enfer me guette sans doute, que voulez-vous !!!
Encore des propos idiots de ma part !!!
RépondreSupprimerL'enfer me guette sans doute, que voulez-vous !!!
Comme mon expertise dans la Voie est nulle, peut-être pourrai-je citer ici un chant du célèbre Yogi tibétain, Milarépa, Fils du traducteur Marpa :
RépondreSupprimer« Sous le ciel de Kyangpèn »
Au-dessus de ce palace forteresse les pourpres nuages du sud s’amoncellent.
Au -dessous, coule l’eau bleutée du torrent.
Derrière, la roche rouge pointe vers l’azur.
Devant, les fleurs s’épanouissent dans les mousses.
Les bêtes de proies rugissent à mes côtés.
Le vautour royal, à l’écart plane.
Du ciel tombe une bruine ténue, et, sans cesse les abeilles bourdonnent.
L’hémione et le daim jouent et gambadent avec leurs petits, tout comme la guenon s’élance vers les sien.
Alouettes et grues blanches chantent sur tous les tons.
Compagnons de l’âme, un langage exercé glorifierait même une eau froide et boueuse.
Les qualités de ce lieu sont inconcevables.
J’ai chanté ma joie et vous ai donné des instructions verbales.
Donateurs, hommes et femmes ici réunis, agissez comme moi, suivez mon chemin !
Pratiquez les vertus, renoncez au mal !
(selon la trad. De M. J. Lamotte)
Nous sommes trois fois gâtés !
RépondreSupprimerEt pour moi, un coup de kyosaku sur les mains !!!
SupprimerEt pour moi, un coup de kyosaku sur les mains !!!
SupprimerVous semblez n'avoir pas peur de la mort
RépondreSupprimerLe grand détachement doit etre si beau si lumineux...
Pluie de larmes sur cette embarcation ballottée par les vagues !
RépondreSupprimerPluie de larmes sur ces phénomènes illusoires !
Pluie de larmes sur ces frustrations et cette imagination !
Pluie de larmes sur ces corps, paroles et esprit passagers !
Pluie de larmes sur cette embarcation ballottée par les vagues !
RépondreSupprimerPluie de larmes sur ces phénomènes illusoires !
Pluie de larmes sur ces frustrations et cette imagination !
Pluie de larmes sur ces corps, paroles et esprit passagers !
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJuste le mot "gouille" évoque pour moi tout le bonheur qu'il y a a se rafraichir, la peau comme les yeux, dans ces petits trous d'eau, naturels ou artificiel, enrubannés de nature, gorgés des cette odeur de vase et de peupliers qui flotte aux abords du Rhône quand il n'est encore qu'une rivière...
RépondreSupprimerGouilles où j'ai passé le plus clair des temps d'oisiveté de mon enfance, auprès desquelles je courais au moindre rayon de soleil, de mars à octobre, pour plonger dans toute cette faune et cette flore.
La vie est plus douce dans ces coins de verdure que l'on croit n’appartenir qu'à nous... comment pourrait on y attraper un rhume !!??!! :-)